Ressources inhumaines, de Frédéric Viguier, éd. Albin Michel.

Ça part sur les chapeaux de roue, on s’emballe, on  s’accroche, et on adore ça, de voir cette arriviste de stagiaire gagner dans le monde cruel du supermarché pour y faire sa place.

L’héroïne est diaboliquement détestable et on adore la détester.

La 1^ère partie de sa vie reste ma préférée, la 2^ème ayant un peu moins de « panache ».  

L’histoire réussit malgré tout à nous donner un avant-goût du talent de l’auteur pour ce 1^er roman.

La maladroite, d’Alexandre Seurat, ed. Rouergue.  #MRL15 #PriceMinister.

La maladroite, c'est l'histoire de Diana, inspirée d’une histoire réelle :
celle de la petite Marina, qui ne vivra que jusqu’à l’âge de 8 ans.

La maladroite, c'est le récit déchirant d’une maltraitance soupçonnée,
et racontée à travers les personnes qui l'ont connue.

Non, nous n’aurons pas le témoignage direct de cet enfant, ni de ses sévices.

Vous aurez celui de ceux et de celles qui n’ont rien pu faire pour la sauver :

ceux qui ont tenté vraiment et ceux qui n’y ont pas cru...

Ses tortionnaires ? Elle ne les a jamais dénoncés. Ses tortionnaires, c’était ses deux parents.

Ses bleus ? Elle disait se cogner. Elle répétait sans cesse qu’elle était  « maladroite ».

Elle avait 8 ans, elle s’appelait Diana, et personne ne savait.

 #MRL15 #PriceMinister.