clopes atelier, objets détournés

mardi 30 août 2016

le chat, un animal attachant et mystérieux


Vivre avec un inconnu, de Florence Burgat, éd.Rivages poche 

On croit le connaitre, mais on le croit seulement ! 
A partir d'anecdotes de sa vie quotidienne avec son chat, l'auteur, philosophe, nous livre ici quelques "miettes philosophiques" sur cet étrange animal qui nous fascine et qui livre aussi toute une part obscure que nous ne voulons pas admettre...
Pour tous les propriétaires de chat :=)





samedi 27 août 2016

un parfait compromis de déco pour la rentrée

Support de bouteille pastis détourné en lampe de bureau

Lampe de bureau publicitaire, au nom de "pastis casanis" qui est un pastis d'origine corse ;
Idéal pour la rentrée d'un(e) étudiant(e) :
vous êtes partagé entre son amour pour l'alcool et votre exigence de travail ? 
c'est donc un parfait compromis pour votre enfant, vous préservez sa santé et lui, il aura une lampe sympa pour déco !
La lampe se fixe par resserrage (voir photo) sur un support dont l'épaisseur peut aller jusqu'à 6 cm ;
La plaque publicitaire a été "décolorée" et vernis, peint et vernis en noir à l'arrière, l'embout de resserrage peint et vernis en noir aussi ;
L'ampoule à led est fournie, culot E27, 600 lumen (très éclairante) ;
Dimensions : hauteur 38 cm, profondeur 21 cm ; largeur 10.5 cm





http://clopes-atelier.alittlemarket.com


samedi 20 août 2016

vive la rentrée !

ça , c'est sadique ! mais c'est drôle...et vrai !
à suivre sur son blog...monsieur le prof
ed. Flammarion, 12 €

"la seule chose qui me motive à me lever chaque matin, c'est de savoir à quel point mes élèves seraient heureux si j'étais absent"



samedi 6 août 2016

Les Femmes et la Révolution

La force du sexe faible, de Michel Onfray, éd. Autrement.

A travers le portrait de 5 femmes,  
Michel Onfray, revient sur la Révolution française et nous présente des parcours incroyables.
Il nous relate leurs idées déjà novatrices et modernes (voir révolutionnaires comme l’égalité entre les sexes…) d’Olympe de Gouges, de Charlotte Corday, de Mme Staël, de Manon Roland, de Théroigne de Méricourt. 
Des femmes qui voulaient une Révolution sans effusions et bains de sang…mortes guillotinées.

Ces portraits de « Girondines » nous interroge sur l’histoire bien scolaire de nos écoles où bien trop souvent l’Histoire se réduit à des hommes.
Une vision « féministe » clairement présente ici et qui n’est pas pour déplaire.