Parle-leur de batailles, de rois et d’éléphants, de Mathias Enard, éd. Actes sud.
Prix Goncourt des Lycéens 2010.
En 1506, Michel Ange a besoin d’argent, mais le pape Jules II étant mauvais payeur, l’artiste accepte de partir à Constantinople afin d’élaborer un pont sur le Corne d’Or.
Mais tout ne se passera pas comme prévu.
Accompagné du troublant poète Mesihi , il découvre un Orient entre réalité et moments de rêves, entre conflit de religion et de civilisation aussi. A travers ce voyage, le lecteur sera ravi de découvrir cette ville telle qu’elle était à l’époque, pleine de richesse et de diversité.
Bravo à l’auteur pour avoir réussit, à partir de certains faits réellement historiques, brodé toute une histoire autour, crédible et sensible.
Livre à conseiller pour les amis de la poésie, pour les autres, j’aurais tendance à déconseiller…
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